"Je ne souhaite à personne ce qui m'est arrivé. C'est mon chemin et je l'ai fait mien, c'est un chemin de lumière. Je n'ai pas de leçon de vie à donner, j'ai une expérience de vie à partager. Je sais aujourd'hui qu'il n'est jamais trop tard."
L'avis de Karine : Un beau jour de 2006 à 31 ans, Priscille Déborah pose son sac à main sur le quai du métro, attend la rame et saute en criant "je ne veux pas mourir !" Son souhait est exaucé ...
« Mais elle ne savait pas ce que c’était que de ne pas avoir sa place. Elle ne savait pas ce que c’était de vouloir quelque chose si fort que ça crée une douleur en permanence. »
L'avis de Céline : Sam rencontre son énième famille d’accueil et cette année, à l’école, on lui propose de participer à une pièce de théâtre dont la représentation aura lieu en fin d’année.
"Le mystère demeurera, car il touche au secret de l'être, à la façon, unique pour chacun, de conduire ses jours, à ses contradictions, à ses blessures. Et le mystère forge une légende, car il nous faut donner un sens à ce qui nous échappe."
L'avis de Nathalie : Vivian Maier est une Américaine d’origine française, une anonyme, arpenteuse inlassable des rues de New York et de Chicago, témoin de vies touchantes, drôles ou atypiques qu’elle fixe sur son appareil photographique.
« Le problème, quand ta vie s’effondre, c’est que personne ne t’avertit. Ce serait cool d’avoir une voix off, une lettre, un message WhatsApp, même un télégramme envoyé par pigeon voyageur : « ALERTE ROUGE, jusqu’ici ta vie était normale, mais mets ta ceinture, parce qu’elle va basculer dans la merde la plus totale. »
L'avis de Jennifer : Un roman qui parle de basketball et de spaghetti… de quoi aiguiser la curiosité !
Je ne sais pas vraiment pourquoi j’ai commencé ce journal. Je n’ai jamais aimé l’écriture, mais je crois que ça me fait du bien. Les mots que j’écris permettent de me libérer, d’exprimer ce que j’éprouve. Je ressens cette douleur depuis si longtemps…»
L'avis de Fabienne : Un journaliste paparazzi, se retrouve impliqué dans une série de meurtres.
« Les poubelles d’une personne racontent sa véritable histoire. Car à la différence des gens, les poubelles ne mentent pas. »
L'avis de Fabienne : Thriller d’une grande intensité, qui dès les 1ères pages, nous plonge dans un bain de noirceur et nous fait découvrir les dégâts psychologiques que peuvent entraîner les maltraitances du passé.
"C'était en janvier 2003. Dans notre boîte aux lettres, au milieu des traditionnelles cartes de vœux, se trouvait une carte postale étrange. Elle n’était pas signée, l’auteur avait voulu rester anonyme. L’Opéra Garnier d’un côté, et de l’autre, les prénoms des grands-parents de ma mère, de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942..."
L'avis de Corinne : En 2003, Lélia, la mère de l'auteur, reçoit avec perplexité une étrange carte postale. Anonyme, elle ne comporte que les prénoms de quatre membres de la famille, morts à Auschwitz en 1942.
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