« Au-dessus du salon, un nouveau coup de gomme ouvre le toit pour y placer une fenêtre qui laisse apparaître les étoiles et le soleil. Sa maison , il la veut cabane à ciel ouvert. Le soleil et l’air doivent la traverser de part en part sans entrave, comme si elle était aussi leur terrain de jeu. »

L'avis de Nathalie : Claire roule vers l’océan, c’est comme un besoin, un appel... Enfin la voici sur une plage, le ressac de la mer l’apaise et la guide.

"Son visage se crispa de haine tandis qu'une larme roulait sur sa joue. Elle frappa la table des deux poings, soulevant un nuage de poussière.Elle n'avait plus d'alternative maintenant. Elle devait aller jusqu'au bout."

L'avis de Fabienne : Aux trois drôles de dames, Sophie, Carole et Béatrice, amies d’enfance, s’ajoute la quatrième « Maud ».
Ce qui pourrait être le symbole du bonheur, l’histoire du « Trèfle à quatre feuilles » va tourner au drame…

"Naomi ne pensait pas qu’elle aurait besoin de chance un jour. Elle se figurait qu’elle était née sous une bonne étoile. Je le croyais aussi ; je croyais que c’était notre cas à tous..."

L'avis d'Erica : Jenny est médecin, mariée à un neurochirurgien célèbre. Ensemble, ils ont élevé trois superbes enfants. Un soir, la plus jeune, Naomi, 15 ans, ne rentre pas à la maison...

« Maintenant que je peux faire du papier, je veux faire un livre avant de disparaître. »

L'avis de Romaric : Dans ce manga adapté de ses propres romans, l’auteure nous conte les tribulations d’une lycéenne bibliophile et future bibliothécaire réincarnée dans le corps de Maïn, une petite fille malingre et pauvre vivant dans un monde où les livres sont réservés à une rare élite.

"Au pays de l'oubli, on peut enchanter, enjoliver le quotidien et faire rêver les grands enfants. La nature déteste le vide. Alors, à chaque question, à chaque activité, à chaque photo, Louis lui réinvente une vie pleine de bonheur et de réconciliations."

L'avis de Corinne : L'auteure, Aurélie Valognes, expose un sujet très actuel et effrayant : la maladie d'Alzheimer.

"Tous ceux qui ont vécu un grand deuil se demandent à un moment donné ce qui, d’apprendre ou de désapprendre, est le plus difficile. Longtemps, Yui fut incapable de le déterminer, mais elle n’en doutait plus maintenant : le plus pénible était de désapprendre."


L'avis d'Erica : Sur les pentes abruptes du mont Kujira-yama, au milieu d'un immense jardin, se dresse une cabine téléphonique : le Téléphone du vent.