« ... J’ai besoin de cette énergie fluante du groupe, de sentir les tensions et les fusions qui nous traversent, chacun et tous. J’ai besoin de me sentir noué dans la pelote de nos fils. »

L’avis de Léa : Œuvre la plus célèbre de Alain Damasio (et à raison), la Horde du Contrevent coupe le souffle autant par la beauté de son texte que pour l’humanité qu’il retranscrit avec tant de justesse.

"C'est une famille restreinte, quelque peu ratatinée, que la mienne [...] Depuis sa retraite, ma mère a entrepris d'y ajouter des ascendants puisque je lui refuse les descendants : elle s’est mise à la généalogie. »

L'avis de Nathalie : En voulant aider sa mère dans ses recherches généalogiques, la narratrice découvre que son arrière-grand-mère est décédée près de quarante ans après la date que la famille annonçait.

"Je pris la hachette que je portais à la ceinture et me mis à rire à l'idée de me défendre contre un ours avec un tel instrument. Encore des idioties à la Davy Crockett."

L'avis de Karine : Lorsque l'on a 20 ans et que l'on a été nourri aux récits des trappeurs luttant pour leur survie au milieu d'une nature hostile, peut-on résister à la proposition de passer 7 mois seul dans les montagnes Rocheuses ?

« Extrait de l’Article 3 de la Constitution de Sapientia : La descendance se fait par le lien maternel. Les femmes sont la source de la Nation, elles possèdent le pays et sa terre. Par conséquent, les hommes sont d’un rang inférieur à celui des femmes. »
L'avis de Céline : S’inspirant de « L’Année de Grâce » et « La Servant écarlate », Cassandre Lambert nous offre un premier tome dans un univers où les rôles sont inversés...