« La lâcheté est au caractère ce que la trahison est à la guerre. Les héros n'y survivent pas. »
L’avis de Léa : Des intrigues politiques et des complots, ce roman n’en manque pas.
« La lâcheté est au caractère ce que la trahison est à la guerre. Les héros n'y survivent pas. »
L’avis de Léa : Des intrigues politiques et des complots, ce roman n’en manque pas.
« On devrait même, pour aimer plus encore la vie, être mort une fois »
L'avis de Corinne : Dans ce roman, David Foenkinos explore les thèmes universels de l’amour, du destin et du bonheur à travers l’histoire touchante de ses personnages.
« Je pensais que c’était un duel d’escrime, J’ignorais que ce fût un échange de rimes. »
L'avis de Manon : Quel délice que ce roman écrit avec les intonations d’une pièce de théâtre !
« Le mal est contagieux commissaire et vous le savez. Il ne s’agit pas de vengeance ici, mais d’exemple »
L'avis de Fabienne : Direction l’Italie. Un flic borderline, démis de ses fonctions, enquête officieusement sur une série de crimes.
« Et méfiez-vous des contes. Qui sait, derrière ces badines historiettes, quelles terribles vérités sont cachées ? »
L’avis de Léa : Face à une réécriture de conte, on peut, à raison, s’inquiéter de lire quelque chose de redondant, voire ennuyeux… en comparaison, ce roman est une véritable vague de fraîcheur.
« Je pense souvent à ce que mon père m’a dit, un matin, dans une cuisine qui sentait le café fort et les médicaments : la littérature est une consolation. Je ne sais pas s’il avait raison, mais j’aimerais bien. »
L'avis de Nadia : De 1914 à nos jours, nous traversons plus d’un siècle d’histoire au prisme de la famille Balaguère.
"Il aurait dû affronter Enzo et lui expliquer ce qu'est une SEGPA. Un endroit où l'école n'est plus un lieu de souffrance mais de protection et où il peut apprendre à son rythme"
L'avis de Karine : Clément est en classe de CM2. Toute sa scolarité a été douloureusement rythmée par ses difficultés d'apprentissage.
« Mon père disait que ça ne sert à rien. Les rêves ne se réalisent pas, c’est pour ça qu’on les appelle des rêves »
L'avis de Corinne : En 1986, Mimo, un sculpteur, en fin de vie, réside depuis une quarantaine d’années dans une abbaye, sans être pour autant un religieux.
« Pour les sorcières, la magie est comme un animal de compagnie. Elle aime qu'on fasse attention à elle. Elle est de genre malicieux et a tendance à faire des bêtises quand elle se sent délaissée mais, la plupart du temps, c'est une amie loyale qui ne cherche qu'à donner un coup de main. »
L'avis de Manon : Envie d’une maison isolée dans la campagne Anglaise et de compagnie réconfortante ?
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